L'exhaustivité fonctionnelle avait du sens dans la méthodologie "Cycle en V"


Dans cet ancien modèle séquentiel de gestion de projet, les spécifications fonctionnelles, écrites complètement dès le début, donnent vision précise de l'exhaustivité attendue.


En revanche, cette méthodologie comporte plusieurs inconvénients:

    • elle génère souvent un "effet tunnel", 
    • elle laisse peu de place au changement, 
    • elle peut aboutir à une livraison certes conforme aux spécifications initiales, mais en décalage avec les besoins actualisés du client.


Pour cette raison, elle est désormais très peu utilisée dans le monde de l'ingénierie logicielle. 

Elle a été complètement abandonnée à Innlog, au profit de la méthodologie "Agile"



Les besoins fonctionnels sont décrits au fur et à mesure dans la méthodologie Agile


Dans cette méthodologie itérative et flexible, les phases de conception fonctionnelle sont intégrées à des cycles courts de 2 semaines, appelés "sprint".

Cela donne une grande souplesse et permet une adaptation continue aux retours clients et à l'évolution de ses besoins.



Comment nous abordons l'exhaustivité fonctionnelle en méthodologie Agile

En mode Agile, l'exhaustivité fonctionnelle n'est donc pas élaborée de manière figée tout en amont.


Nous avons mis en place d'autres approches pour l'établir et en suivre l'avancement jusqu'à maturité, en particulier

    • l'exhaustivité fonctionnelle à maturité définie par rapport à celle de Tesfri 9.3 
    • l'exhaustivité fonctionnelle définie par roadmap co-construite avec l'ensemble des parties prenantes
    • l'exhaustivité fonctionnelle définie par formules commerciales